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voyage individuel Namibie
Troupeau d'Oryx
Marienfluss
voyage individuel Namibie
Femme Himba
Village de Puros
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Effet de dune
dans le Namib
voyage individuel Namibie
Plateau
d'Etendeka
voyage individuel Namibie
Springboks
Pan d'Etosha

Circuit Individuel Namibie

Namibie > Des rivières aux déserts

La Namibie hors des sentiers battus avec guide privé, en lodge et bivouac.


Découvrez ce circuit très complet, hors des sentiers battus, qui vous fera parcourir la Namibie de Windhoek jusqu’à la frontière de l’Angola tout au Nord.

Depuis le « pan » d’Etosha jusqu’en pays Himba, vous vous enfoncerez toujours plus dans une nature exceptionnelle et les passages se feront de plus en plus étroits pour votre 4x4. Vous redescendrez ensuite vers le sud, de rivière en rivière, jusqu’au grand erg du Namib.

Au cours de ce voyage organisé de façon entièrement privative, vous bénéficierez de l’accompagnement d’un guide expert de ces régions authentiques, et vous voyagerez de façon complètement autonome. Votre hébergement sera pour moitié dans des lodges et pour l’autre moitié en bivouac ce qui vous permettra de bénéficier de milieux naturels préservés.

Laissez-vous embarquer dans l’aventure en découvrant, en bas de page, l’itinéraire détaillé de ce voyage…
carte Des rivières aux déserts

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Notre galerie photos

loupe Des rivières aux déserts
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loupe Des rivières aux déserts

Les Étapes

Jour 1 : Arrivée Windhoek.

Après le long vol intercontinental, l’avion se pose sur la piste au milieu d’une plaine arbustive immense, construite à 42 kms de la capitale. Windhoek est située dans les montagnes de Khomas à 1650 m d’altitude. C’est une ville moderne lumineuse et propre, et qui balaie d’un revers de manche tous les clichés sur les villes africaines. Nous traversons le centre et ses quelques tours de verre qui côtoient les vieilles maisons aux toits rouges des années 1900. Puis nous prenons l’axe nord sud, en direction d’Etosha.
Une halte pour la nuit dans le fameux Lodge d’Okonjima, siège de l’AFRICAT fondation réputée pour son combat en faveur des grands carnivores. Puis nous irons à la rencontre des rares et fragiles guépards en cours de réhabilitation.

Jour 2 : Etosha / Okaukuejo.

Etosha, vestige d’un lac gigantesque, est devenu en s’asséchant un « pan » : étendue de sel et d’argile qui à certaines heures réverbère une lumière aveuglante. L’horizon disparaît dans une brume de chaleur alors les girafes flottent dans l’air vibrant. Nous longeons les bords du « pan » et nous abordons avec précaution les points d’eau, la surprise est souvent au rendez-vous avec son cortège d’animaux assoiffés. Le soir nous regagnons le camp d’Okaukuejo avec son plan d’eau éclairé toute la nuit où les bêtes font une entrée souvent théâtrale.

Jour 3 : Okaukuejo / Dolomite point.

Nous quittons Okaukuejo par une piste toujours d’une blancheur éblouissante en direction des frontières de l’ouest du Parc. Cette région est très différente de la platitude précédemment traversée. Le paysage est formé de douces collines de calcaire : la dolomie. Le zèbre de montagne habite ce biotope, mais nous pouvons aussi croiser au détour des pistes sinueuses le rhinocéros noir. Le lodge architectonique de Dolomite Point est admirablement placé utilisant le relief, il domine toute la plaine, offrant le spectacle splendide et toujours changeant des levers et couchers de soleil.

Jour 4 : Dolomite Point / Opuwo.

Une dernière balade dans les forêts sèches d’acacias à la recherche d’animaux discrets comme le Dick-Dick du Damara, la plus petite antilope du monde, puis nous retrouvons la route à Otjivasandu. Elle longe les limites d’Etosha et traverse les villages Himbas, avec leurs troupeaux de vaches. Nous arrivons à Opuwo, capitale du Kaokoland, qui rassemble un panel d’ethnies surprenant : Himbas, Ovambos, Hereros... Ici les habits traditionnels flirtent avec jeans et costumes d’hommes d’affaire. En faisant quelques courses, il n’est pas rare de croiser des femmes Himbas poussant un caddy dans les allées du supermarché.
C’est dans L’Opuwo country Lodge qui domine la ville que nous passerons la nuit. D’ici la piste trace une fine ligne blanche reliant Etanga.

Jour 5 : Marble Camp site, Kaokoland.

Après quelques courses dans cette ville d’ocre et de poussière, nous empruntons la piste pour Etanga. La végétation se raréfie laissant apparaître le sol nu, les rivières creusent la cuirasse minérale d’une variété incroyable avec ses palettes de couleurs. Les veines de marbre affleurent dans ce relief très accidenté. Le Land cruiser est d’ailleurs très sollicité. Nous sommes au cœur du pays HimbaDepuis la piste, on aperçoit des jeunes femmes Himbas reconnaissables parmi toutes grâce à leur corps en partie dénudé qui donne à voir une belle peau rouge ; elles s’enduisent le corps d’onguents composés de poudre de roche rouge, l’hématite, à laquelle sont ajoutées graisse de vache et résine de petits arbustes parfumés appelés commiphoras, elles se protègent ainsi du soleil, de la sécheresse et des insectes., le Kaokoland.
Le camp sera monté à l’ombre de vieux mopanes. Bivouac.

Jour 6 : Marienfluss, la rivière Kunene.

La progression vers le nord est de plus en plus chaotique, la piste n’est plus qu’un passage étroit de la largeur du 4x4 entre des schistes acérés. En descendant de ces montagnes d’une autre planète, une immense plaine de sable orangé s’offre à nous. Un bidon de 200 litres peint en rouge matérialise la croisée des chemins sans autre indication. Des petits groupes Himbas se déplacent avec leurs troupeaux à la recherche du moindre brin d’herbe. Malgré la bonne piste de sable nous n’avons pas l’impression de bouger tant le paysage est grandiose. Soudain nous voyons apparaître le ruban vert sombre de la rivière Kunene avec l’Angola sur la rive opposée. Quelques crocodiles nonchalants gardent les frontières. Dans le camping où nous plantons la toile, les palmiers à ivoire procurent une relative fraîcheur et une ombre bien méritée.
Camping.

Jour 7 : Les immenses plaines de la vallée de Hartmann, la rivière Khumib.

Nous quittons la bienfaisance de la palmeraie et la rivière Kunene pour rejoindre, par une étroite piste minière très chaotique, la vallée de Hartmann. Le paysageDans ces montagnes, la végétation se fait rare, seules les plantes xérophytes subsistent. Les animaux qui vivent ici se sont adaptés aux conditions difficiles. De grandes plaines de gravier s’étendent pour disparaitre dans un mirage. Quelques ergs dorés viennent rompre la monotonie de ces paysages. de l’orogénèse de notre planète est là, sous nos pieds 2 milliards d’années.
Nous roulons à nouveau au milieu d’un relief montagneux très coloré, la diversité des strates est typique de la Namibie, mouvements tectoniques et l’érosion ont façonné le relief sculptant parfois d’étranges créatures tel l’« ours polaire » minéral qui semble garder l’accès de la rivière Khumib. C’est au milieu de ce spectacle d’ombre granitique que nous bivouaquerons avec l’éphémère Khumib à l’horizon.
Bivouac

Jour 8 : La rivière Hoarusib.

Un extraordinaire lever de soleil nous inonde de lumière au petit déjeuner. Au loin dans la rivière, des ombres familières se dessinent entre les acacias, des girafes ! Ces grandes dames arpentent les rivières sèches du Kaokoland. Quittant cet oued loin d’être désert, une belle piste nous conduit en pente douce vers une probable rivière qui devait être, jadis, impressionnante au regard des énormes empilements de limon jaune, les « châteaux d’argile ». En contrebas, la rivière Hoarusib avec son filet d’eau, et oui ! Toutes les rivières namibiennes ne sont pas sèches, même si le courant n’est pas régulier ce fleuve « coule » toute l’année. Véritable oasis pour la faune ainsi que pour les bergers Himbas et leur bétail. Petit Game drive histoire de se rafraîchir les roues et de découvrir aux milieux des tamaris les impressionnantes gorges de l’Hoarusib.

Jour 9 : L’Hoanib, la rivière « faune ».

Nous quittons l’eau de l’Hoarusib. C’est entre regs et montagnes que nous traversons les 70 kms de ce plateau lunaire ; à nouveau une descente en pente douce nous annonce la présence d’une rivière… mais de sable cette fois ! Les grands Faidherbia Albida laissent deviner la présence d’une rivière souterraine à l’origine de cette végétation. Le fort vent d’ouest poussiéreux qui souffle ici génère des images sahéliennes. Mélange de petites dunes et de roches, cet oued est une surprise à chaque méandre. La grande faune surgit, derrière les buissons de salvadora persica, éléphant, girafe, oryx, babouin, autruche, et si la chance nous sourit, le lion. Le bivouac n’en sera que plus magique, reculé sur les bords de la rivière. La nuit, l’Hoanib leur appartient.

Jour 10 : Palmwag, le plateau d’Etendeka.

Ce matin, des springboks broutant sur les berges de l’Hoanib nous regardent descendre en direction d’un de ses affluents, la Mudurib. Le paysage change, la végétation aussi, les Mopanes et Combretum sont plus nombreux et imposants, cette rivière est un charriage de galets, ce qui n’empêche pas les girafes d’y trouver subsistance. En quittant son lit pour aller vers le sud, s’offre à nous une vision martienne, le plateau d’EtendekaGigantesque plateau basaltique taillé, de vallées, pyramides et tabulaires. Quelques oasis de palmiers hyphaene ponctuent de vert le rouge dominant de ce massif. C’est le fief du zèbre de Hartmann parfaitement adapté à ces montagnes. Des plantes étranges poussent ici, comme la préhistorique Welwitschia mirabilis. Poussant lentement au gré des brouillards, cette étrangeté végétale à cheval entre les cycas et les conifères semble défier le temps. Une autre espèce antédiluvienne est l’hôte de ces déserts de pierre, le rhinocéros noir. Farouche, difficile à trouver malgré la végétation rase, il se cache aisément derrière les euphorbes du Damara. Toute la région de Palmwag est dédiée à sa protection car cette espèce est en grave danger d’extinction..
Le bivouac à l’abri des euclea pseudo-ébène est des plus sauvages.

Jour 11 : L’Huab et ses éléphants.

Cette rivière se fraye un chemin au milieu d’un chaos de roches de toutes origines et de toutes couleurs, un géomorphologue y perdrait son latin. L’alliance du vivant et du minéral atteint ici son paroxysme. Les éléphants adaptés au désert vont et viennent le long de cette imposante rivière, ses arbres atteignent peut être des âges millénaires, ils portent les cicatrices de générations de pachydermes qui ont grignoté leurs écorces. Au fur et à mesure de la descente de son cours les arbres font place à une végétation arbustive, puis au marais, indispensable pour abreuver la faune variée de cet endroit du Damaraland. En fait l’ensemble de ces rivières « coulant » d’Est en Ouest naissent sur les hauts plateaux namibiens, et se terminent dans l’Atlantique sud sous forme de grands marais s’étalant dans le sable. Le choix de bivouacs ici est infini dans des décors magiques.

Jour 12 : La région du cratère Doros, le Brandberg, la rivière Ugab.

Le lit de l’Huab disparaît derrière nous, le décor change sans arrêt, c’est un défilé de mode géologique ! Même les images satellites de cette région semblent irréelles, à l’instar de ces conifères couchés sur un lit de grès depuis le permien (280 millions d’années) ils ne sont plus que pierre, pétrifiés à la suite de grandes catastrophes climatiques.
Le rhinocéros noir fréquente les abords de ce cratèreL’ensemble est dominé par l’impressionnant massif du Brandberg, le plus haut sommet namibien, qui porte son granite à 2573m d’altitude. Cet inselberg circulaire est un haut lieu de l’art pariétal, des générations de « Sans », ethnie de chasseur-cueilleur, ont sanctuarisé ce massif en esquissant sur ces roches leur vie, et le bestiaire varié qui les accompagnait. La descente chaotique dans ces fameuses passes vers la rivière Ugab, se fait entre des parois de schiste dont les lignes de crêtes sont toutes parallèles., les girafes se portent bien depuis leur réintroduction dans la rivière Doros.
La piste pour Swakopmund est un tracé quasi rectiligne à travers la solitude de ces plaines, malgré tout encore habitées d’animaux comme la confrérie des Suricates. Quelle surprise de voir apparaître le mirage de l’océan au bout de ces étendues détritiques. Nuit en Lodge dans la ville plus allemande que l’Allemagne ! Quel contraste d’avoir la sensation de fraîcheur et d’humidité, Swakopmund, ville balnéaire et peuplée est plantée là au bout de nulle part.

Jour 13 : Swakopmund, Walvis bay.

Surprise ! Ce matin en sortant de nos maisons sur pilotis, nous sommes baignés de brume, résultat de la condensation du courant froid de Benguela, avec le désert. C’est dans cette ambiance que nous embarquons sur un catamaran à la recherche de dauphins et de baleines si la chance nous sourit. Le brouillard se lève comme d’habitude et laisse apparaître les colonies d’otaries à fourrure du cap sur pélican point, beaucoup d’oiseaux aquatiques marins sont au rendez-vous, pélicans blancs, cormorans, goélands et selon la saison, les flamands roses et flamands nains. L’après-midi est consacrée à la découverte de l’embouchure de la rivière Kuiseb, du désert côtier et de ses dunes. Nuit dans nos chalets sur les berges de la rivière Swakop.
Nuit au Stilitz

Jour 14 : Sesriem, le grand erg du Namib.

Swakopmund s’estompe dans une nappe de brume océanique, une large piste nous mène dans le Namib. Naukluft ParkDe part et d’autre s’étant le reg, en prenant de l’altitude, des massifs de roches dépassent du plateau, présentant un paysage toujours aussi varié. Après avoir traversé canyons et rivières, nous longeons le grand erg rouge du Namib. Il représente un tiers de la surface de ce désert hyper aride. 94% de l’eau est apportée par le brouillard quand il peut pénétrer à l’intérieur du Namib en nappes irrégulières., un des plus grands sanctuaires d’Afrique.
La petite bourgade de Solitaire est toujours très animée, pas vraiment solitaire donc. Petit oasis à la croisée des chemins, en plein désert ravitaillements en tout genre et surtout l’excellente boulangerie pâtisserie de Moose Mc Gregor, d’où s’échappe une bonne odeur de petits gâteaux.
Sesriem, les portes officielles du Namib, les immenses dunes rouges se profilent à l’horizon. Le Sossus Dune Lodge est adossé à un massif de schiste face à l’océan de sable. Seul lodge situé dans le parc, proche de la rivière Tsauchab et de son profond canyon. Ce cours d’eau éphémère donne naissance aux fameuses étendues d’argile et de limon que l’on nomme « les pans ». Paysage de renommée mondiale aux images d’arbres morts dressés vers un ciel d’un bleu insolent, sur fond de dunes géantes. La nuit au lodge sera courte, le lever de soleil dans ces endroits magiques est incontournable.
Nuit au Sossus Dune Lodge

Jour 15 : Dead Vleï

La randonnée au milieu des plus grandes dunes du monde est inoubliable, même si la progression sur ces montagnes de sable n’est pas aisée, la vue circulaire au sommet des arêtes est grandiose. Le sable commence à chauffer sous l’ardent soleil, il est temps de rentrer.
Des mirages se forment dans le vaste lit de la Tsauchab, l’air vibre, dans quelques heures l’endroit deviendra intolérable, seuls les oryx et les springboks ne semblent pas s’en soucier, l’adaptation à la chaleur de ces animaux est surprenante.
La remontée vers Windhoek, se fait par des passages très raides, comme la « Spreetshoogte Pass » connue pour ces lacets vertigineux qui, une fois au sommet permettent de contempler tout le Namib, 600 m plus bas. Nous laissons le vieux désert à son sable, pour découvrir l’univers minéral des «kopjes » de granite qui couvrent la guestfarm de Namib Grens.
Promenade entre ces empilements de pierres où se cachent des colonies de Damans, (petits mammifères à l’allure de marmottes, mais qui en fait sont de proches parents des éléphants). Au coucher de soleil un couple d’oréotragues profite des derniers rayons solaires et pour nous notre dernière nuit dans cette ferme chaleureuse. Demain nous prenons la route pour l’aéroport.
Nuit au Namibgrens Guest Farm

Jour 16 : Retour vers Windhoek

Retour vers Windhoek selon l’heure de votre vol international.

L’itinéraire et les hébergements peuvent être modifiés, N'hésitez pas à nous interroger.

En résumé

Itinéraire : Windhoek, Etosha, Kaokoland, Marienfluss, Etendeka, Damaraland,
Brandberg, Swakopmund, Walvis Bay, Namib
Circuit privatif avec chauffeur guide francophone
Durée : 16 jours, 15 nuits sur place

Prix* par personne à partir de : 4 050 euros (Base 4 personnes)

Prestations incluses:
Accueil et transfert aéroport, hébergement en lodges 3* et 4* (7 nuits) et en bivouac/camping (8 nuits), accompagnement d'un guide francophone pendant tout le circuit, pension complète avec boissons sur toute la durée, toutes les activités mentionnées dans le programme, véhicule privatif avec chauffeur (Land Cruiser ou similaire), entrées parcs, 1 téléphone satellite pour les régions sans réseau, assurance médicale locale (EMED24)...

Le tarif de ce circuit dépend de la saison et du nombre de participants,
renseignez-vous pour demander votre devis sur-mesure.
*Hors vol international
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